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Le Canada se classe au 1er rang pour l’environnement le plus attrayant, et 2e pour sa réputation générale, selon le Reputation Institute’s Country RepTrak

1 février 2017 – Dans le sondage Country RepTrak de 2016, le Reputation Institute classe le Canada au premier rang dans la catégorie « Attrait de l’environnement » et au deuxième rang pour sa réputation générale, selon les critères suivants : « amical et accueillant », « beauté des paysages », « mode de vie attrayant » et « pays agréable ».

Lire l’article complet sur le site Web du Huffington Post (anglais seulement).

Lire le rapport complet sur le site Web du Reputation Institute (PDF, 24.61 Mo) (anglais seulement).

Le Canada se classe au deuxième rang du palmarès de l’Indice de progrès social 2016, tout juste derrière la Finlande

22 juillet 2016 – Le Canada s’est classé au deuxième rang du palmarès de l’Indice de progrès social 2016 comme “l’un des pays les plus socialement progressifs du monde et l’un des pays du monde où il est le plus agréable de vivre”.

Cela n’a rien de surprenant, étant donné que le Canada se situe aussi au premier rang mondial pour ce qui est de l’accès aux études supérieures, qu’il compte le niveau le plus bas de criminalité violente ainsi que le niveau le plus élevé de tolérance religieuse.

L’Indice de progrès social est un instrument très efficace qui témoigne de la qualité de vie actuelle et future dans chaque pays.

Pour accéder au reste de l’article, consultez le site Web du Ottawa Citizen (anglais seulement).

Les parents se tournent vers le Canada comme destination de choix pour des études à l’étranger

1 février 2017 – Le Canada est le 4e pays que les parents sont le plus susceptibles d’envisager pour les études universitaires de leurs enfants à l’étranger, selon un sondage mondial d’HSBC auprès de plus de 6 000 parents dans 15 pays et territoires.

Dans l’étude, le Canada partage la 3e place avec l’Allemagne pour la qualité des programmes d’études, la qualité de vie et les perspectives d’emploi pour les étudiants internationaux de niveau postsecondaire.

 

Lire l’article complet sur le site Web de Times Higher Education (anglais seulement).

Lire le rapport complet sur le site Web d’HSBC (PDF, 102 Ko).

 

 

Source: educanada.ca

Les Canadiens croient aux bienfaits de l’immigration

Ce faisant, la réceptivité des Canadiens à l’égard de l’immigration se démarque du discours tenu par le candidat à l’élection présidentielle américaine Donald Trump et ses partisans républicains. Durant la campagne menant à l’élection du 8 novembre, Donald Trump a promis d’interdire l’entrée aux immigrants provenant de pays jugés problématiques comme l’Irak et la Syrie et de construire un mur entre le Mexique et les États-Unis pour contrer l’immigration illégale.

Selon un sondage réalisé par la firme Environics pour le compte de la Fondation canadienne des relations raciales, 80% des Canadiens sont d’avis que l’immigration a des retombées positives sur l’économie du pays, alors que cette proportion atteignait à peine 56% en 1993. Seulement 16% des personnes interrogées estiment au contraire que l’arrivée d’immigrants nuit à l’économie. En 1993, la proportion de ceux qui étaient de cet avis frisait les 39%.

Quand on interroge les Canadiens pour savoir si le nombre d’immigrants qui s’installent au pays est trop élevé, seulement 37% d’entre eux disent partager cet avis, tandis que 58% ne croient pas que c’est le cas. Selon Environics, la perception de la population canadienne a beaucoup évolué au cours des 40 dernières années. En 1977, par exemple, 61% des personnes interrogées affirmaient que les niveaux d’immigration étaient trop élevés, alors que 35% seulement soutenaient le contraire.

Ce sondage téléphonique, qui a été mené auprès de 2000 personnes du 3 au 16 octobre, démontre aussi que les Canadiens font confiance aux autorités canadiennes pour bien choisir les immigrants qui s’installent au pays. En effet, 65% des répondants au sondage affirment que le gouvernement fait le travail qui s’impose pour empêcher les immigrants ayant un passé criminel ou soupçonnés d’avoir commis un crime d’être admis au pays. Seulement 26% des personnes interrogées estiment que le gouvernement fédéral n’en fait pas assez à cet égard.

Quant aux 31 000 réfugiés syriens que le gouvernement Trudeau a acceptés jusqu’ici, 48% des Canadiens estiment que le Canada a apporté sa juste contribution tandis que 10% des répondants soutiennent qu’on pourrait en accueillir davantage. Mais 36% des Canadiens croient au contraire que l’on a accueilli trop de réfugiés syriens.

Seule ombre au tableau, bon nombre de Canadiens croient que les immigrants qui s’installent au pays n’adoptent pas les valeurs canadiennes. Pas moins de 54% sont de cet avis, tandis que 40% soutiennent au contraire que les nouveaux arrivants s’intègrent bien et partagent les valeurs canadiennes.

La publication de ce sondage survient alors que le Conseil consultatif en matière de croissance économique propose au gouvernement Trudeau d’augmenter de 50% d’ici cinq ans le nombre d’immigrants qui sont acceptés au pays afin de contrer les effets négatifs du vieillissement de la population canadienne. Dans un rapport remis au ministre des Finances la semaine dernière, le Conseil consultatif propose de faire passer de 300 000 à 450 000 le nombre d’immigrants admis par année d’ici 2021.

– La marge d’erreur du sondage est de plus ou moins 2,2 %, 19 fois sur 20.

Un programme fédéral pour favoriser l’immigration francophone de retour

Ottawa remet en place, à compter d’aujourd’hui, un programme qui simplifie le processus d’embauche de travailleurs étrangers francophones hors Québec. Il avait été aboli par les conservateurs il y a deux ans

L’arrêt, en 2014, du programme Avantage significatif francophone avait d’ailleurs suscité de très vives critiques des communautés francophones en milieu minoritaire.

La Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) avait parlé d’un recul majeur, soulignant que les cibles en matière d’immigration francophone étaient encore loin d’être atteintes.

Ottawa souhaite que les nouveaux arrivants d’expression française représentent 4,4 % de tous les immigrants économiques qui s’établissent à l’extérieur du Québec. Or, à l’heure actuelle, ce taux oscille plutôt autour de 2 %.

En vigueur dès aujourd’hui

Le programme, qui s’appelle dorénavant Mobilité francophone, s’adresse aux travailleurs étrangers qualifiés qui parlent français et qui sont intéressés à travailler à l’extérieur du Québec.

Les employeurs qui veulent les embaucher n’ont plus à prouver qu’il n’y a pas de Canadien disponible et qualifié pour occuper le poste convoité.

Mobilité francophone : comment ça fonctionne?

  • Les employeurs canadiens font la demande, et non les travailleurs étrangers.
  • Les employeurs canadiens doivent préciser le nom du travailleur qu’ils comptent embaucher.
  • Le travailleur étranger obtient ensuite un statut de travailleur temporaire.
  • La durée du permis de travail est variable, en fonction de la durée du contrat
  • Si un travailleur étranger habite déjà au Canada, il est aussi éligible au programme.

Éventuellement, les travailleurs sélectionnés pour le nouveau programme pourraient faire une demande de résidence permanente.

D’ailleurs, contrairement à ce qu’on observait avec l’ancien programme, leur expérience de travail au Canada leur donnera plus de points s’ils veulent devenir résidents permanents.

C’est un programme qui vise à encourager les travailleurs francophones à rester ici et à habiter ici comme résidents permanents et peut-être comme citoyens.

Arif Virani, député de Parkdale-High Park, secrétaire parlementaire en matière d’Immigration

Une demande forte pour des travailleurs bilingues

Plusieurs employeurs voient d’un bon oeil le retour de ce programme fédéral.

Trouver des gens qualifiés qui parlent français et anglais en milieu minoritaire est souvent un défi, explique George Stratakos, qui recrute des travailleurs bilingues.

Dans certaines communautés francophones, comme dans le nord de l’Ontario, la demande pour des francophones est très forte mais, souvent, presque tous les travailleurs bilingues qualifiés ont déjà un emploi.

George Stratakos, consultant en recrutement, Drake International

L’organisme francophone La Passerelle, à Toronto, a dû laisser aller un de ses employés quand le programme a été aboli en 2014.

L’employé était un travailleur temporaire et l’organisme n’avait pas les moyens de faire l’étude d’impact sur le marché du travail, exigée alors par le gouvernement, pour prouver qu’il n’y avait aucun Canadien qualifié pour le poste.

Comme nous, beaucoup d’employeurs se sont dit : ”On ne va pas passer par l’impact sur le marché du travail, c’est très complexe, c’est très difficile et ça nous coûte très cher”.

Léonie Tchatat, présidente fondatrice de La Passerelle-IDE

Une situation aberrante, selon la présidente de La Passerelle, Léonie Tchatat, alors que le gouvernement fédéral cherchait justement à augmenter le nombre d’immigrants francophones.

Le député libéral Arif Virani n’a pas précisé le nombre de travailleurs étrangers qu’Ottawa espère recruter grâce au programme Mobilité francophone. Il ajoute toutefois que le retour du programme devrait aider à atteindre la cible de 4,4 % d’ici 2023.

 

 Source: ici.radio-canada.ca

Le Canada accueillera 300 000 immigrants en 2017

Le Canada n’augmentera pas de façon significative le nombre d’immigrants qu’il compte accueillir cette année, avec 300 000 nouveaux arrivants en 2017, a indiqué aujourd’hui le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, John McCallum.

En fait, ce seuil est le même que celui que l’on compte atteindre en 2016, année d’accueil des réfugiés syriens.

De 2011 à 2015, le Canada avait accueilli en moyenne 260 000 immigrants par année.

Le plan des niveaux de 2017 représente une approche réfléchie et responsable qui tient compte de la nécessité pour le Canada d’accueillir davantage d’immigrants, tout en conciliant ses responsabilités financières.

le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, John McCallum dans un communiqué

Sur les 300 000 nouvelles personnes qui viendront vivre au Canada cette année, 40 000 seront des réfugiés et 84 000 seront admises dans le cadre du programme de regroupement familial.

Loin des recommandations du rapport Barton

Ce nombre de 300 000 est très en deçà des 450 000 immigrants par année recommandé par le Conseil consultatif en matière de croissance économique, dans un rapport publié il y a deux semaines.

Le comité, mis en place il y a près d’un an et présidé par Dominic Barton, avait comme objectif de préparer une stratégie de croissance à long terme de l’économie canadienne.

Lors de la publication du rapport, le ministre McCallum, avait dit considérer le chiffre de 450 000 comme « énorme ». Il a indiqué aujourd’hui qu’il s’agissait d’une cible à atteindre.

« L’immigration joue un rôle important dans le maintien de la compétitivité du Canada dans l’économie mondiale », tout en compensant le vieillissement de la population, a dit le ministre McCallum.

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Source: ici.radio-canada.ca

On cible des candidats et on les attire avec une offre d’emploi

En tant que directrice du volet attraction de talents et entrepreneurs internationaux à l’agence de développement économique régionale Québec International (QI), Marie-Josée Chouinard se spécialise dans le recrutement de travailleurs à l’étranger. En plus d’avoir élaboré le portail régional de référencement quebecentete.com, elle coordonne plusieurs missions de recrutement chaque année, qui ont permis à la région d’embaucher 1382 professionnels depuis 2008.

Quels sont les enjeux mais aussi les points forts de la région de la Capitale-Nationale ?

Notre économiste, chez QI, aime dire que Québec est un marathonien. On vit une croissance soutenue depuis de nombreuses années, malgré les soubresauts de l’économie mondiale. En plus de l’énorme secteur financier et des assurances qui est très stable, on a une industrie du savoir en pleine effervescence, quand on regarde les secteurs de l’informatique, des sciences de la vie, des jeux vidéo, ou de l’optique-photonique. Parallèlement, Québec a une des populations les plus vieillissantes du Canada. Donc, à l’heure actuelle, on a plus de gens qui quittent le marché du travail que de jeunes en âge de prendre leurs places. Les profils en technologies de l’information (TI) sont très recherchés, mais il ne faut pas négliger les secteurs manufacturier et touristique.

Vous attirez alors des travailleurs étrangers. Comment procédez-vous?

Depuis 2008, on fait des efforts d’attraction à l’étranger, en collaboration avec des acteurs gouvernementaux, municipaux, et des entreprises de la région. On cible des candidats pour des postes spécifiques à pourvoir, et on les attire avec une offre d’emploi. On fait trois missions de recrutement par année. Deux à Paris, où on cible surtout le bassin francophone, et une mission virtuelle en Amérique latine, où on vise des partenaires principalement au Brésil, en Colombie et au Mexique.

Que faites-vous pour favoriser la rétention?

On a un bon taux de rétention dans la région de Québec, certainement grâce à l’emploi. Il est de 90 %. En fait, l’employeur est vraiment une clé du succès de la rétention. Dès la première année d’arrivée des travailleurs, on fait un suivi avec tous les employeurs. Une de nos façons de faire est d’améliorer les compétences de gestion des ressources humaines des employeurs qui doivent composer avec une nouvelle réalité de
diversité culturelle.

Selon vos observations, quels sont les obstacles à une bonne intégration?

Le plus gros enjeu est qu’une des deux personnes dans le couple a trouvé un emploi mais l’autre est encore à la maison. Dans ce cas, on encourage la personne à faire du bénévolat, parce qu’il faut vraiment éviter l’isolement….

 

Source: immigrantquebec.com

1, 2, 3 GO, je m’installe en région !

Au Québec, il y a bien sûr Montréal, mais aussi 16 autres régions qui peuvent accueillir résidents et travailleurs. Lorsqu’on le découvre, c’est un monde de possibilités qui s’ouvre à nous, mais il s’accompagne souvent de questionnements et d’incertitudes. L’important est de bien s’informer, afin que le choix de notre future région d’adoption soit le plus éclairé possible.

Andrea Tibabuzo, jeune Colombienne de 34 ans, est arrivée au Québec en 2013. Comme la majorité des nouveaux arrivants dans la Belle Province, elle a atterri à Montréal, des rêves plein la tête, avec la ferme intention de les réaliser. Mais l’enthousiasme a rapidement fait place à la frustration, sa formation de vétérinaire acquise en Colombie n’étant pas reconnue au Québec. « Pour trouver un travail professionnel, c’était difficile, c’était très compétitif à Montréal », se souvient-elle. Après avoir occupé un emploi comme caissière dans une station d’essence, elle songe à s’établir en région dans l’espoir d’y trouver un projet professionnel plus stimulant. C’est Drummondville, dans le Centre-du-Québec, qui a retenu son attention. Elle y habite à présent depuis presque un an, et se consacre à ses études collégiales en approvisionnement et logistique.
Comme Andrea, de nombreux immigrants débarquent à Montréal, mais décident d’en repartir, faute d’y avoir trouvé un emploi satisfaisant, ou simplement parce qu’ils ignoraient ce que le reste du Québec a à leur offrir. « Or, il y a plus d’opportunités en région», affirme la responsable du service de régionalisation de l’organisme Accueil liaison pour arrivants (ALPA), Julienne Kotto. « C’est aussi plus facile de s’intégrer à la société québécoise, parce qu’on est vraiment en immersion avec la population locale », poursuit-elle. En plus d’informer sa clientèle sur les occasions d’emploi, Julienne Kotto pointe le coût de la vie généralement moindre à l’extérieur de Montréal. « Il y a aussi le côté communautaire, qui est très présent. Dans les métropoles, on est un peu perdu dans la masse, on passe inaperçu. Mais quand on va en région, on retrouve ce côté familial où le voisin s’inquiète quand il ne nous voit pas », souligne-t-elle.

Si le grand saut vers une région peut se faire après un passage dans la métropole, il peut très bien être préparé avant d’arriver au Québec, évitant ainsi bien des déceptions. Selon Marie- Josée Chouinard, directrice du volet attraction de talents et entrepreneurs internationaux à l’agence de développement économique régionale Québec International(QI), choisir une région selon son profil socioprofessionnel avant d’immigrer est une très bonne idée. « Commencer à faire sa démarche de recherche d’emploi quand on est à distance, ça nous aide à voir où sont les employeurs et l’emploi facilite notre intégration », précise-t’elle.

Se faire embaucher avant d’immigrer : c’est possible

Une autre façon d’aboutir directement dans la région de la Capitale-Nationale, par exemple, consiste à se faire recruter à distance, l’un des moyens de QI de pourvoir des postes où il manque de main-d’œuvre locale. De concert avec le Gouvernement du Québec, l’organisme met sur pied trois missions de recrutement par année, à Paris et en Amérique latine, qui s’apparentent à de grandes foires d’emploi. Entre huit et dix employeurs de la région participent à chacune d’entre elles…..

Retrouvez la suite de l’article en téléchargeant gratuitement le dossier  « Vivre en région au Québec ».

 

Source: immigrantquebec.com

Les Marocains du Canada célèbrent dans la joie et l’allégresse la Fête du Trône à Montréal

MAP- Par Hassan EL AMRI, Montréal – Dans une ambiance festive et conviviale, des milliers de Marocains établis au Canada ont afflué en compagnie de leurs familles, proches et amis, le 6 août 2016, au Parc Jarry à Montréal, pour célébrer dans la joie et l’allégresse, le 17ème anniversaire de la glorieuse Fête du Trône.

Organisé à l’initiative d’un collectif d’associations et de médias marocains et maghrébins au Canada, ce grand rassemblement a été l’occasion pour les membres de la diaspora marocaine de célébrer, dans un élan fédérateur, un moment fort dans l’histoire du Royaume, de partager la joie et la liesse de l’ensemble du peuple marocain en cette heureuse occasion, et d’exprimer leurs sentiments de fidélité et de loyalisme à l’auguste personne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Brandissant les couleurs nationales, ces expatriés établis au “pays de la feuille d’érable” ont voulu s’associer à leurs compatriotes au Maroc pour réaffirmer leur indéfectible attachement au glorieux Trône Alaouite et à la Mère-Patrie ainsi que leur mobilisation constante derrière leur Souverain pour la défense des intérêts suprêmes de la nation.

Ce rendez-vous, qui est à sa 4ème édition, a été aussi une expression solennelle par les Marocains du Canada de leur attachement à leur Roi, porte-drapeau du Maroc moderne, attaché à ses valeurs authentiques et pleinement engagé sur la voie du progrès et du développement, et une opportunité aux convives issus des autres communautés, de se joindre à eux pour célébrer cette grandiose fête.

Cette manifestation, qui a connu la présence de l’ambassadeur du Maroc à Ottawa, Mme Nouzha Chekrouni, de la Consule générale du Royaume à Montréal, Mme Habiba Zemmouri, du Directeur du centre culturel marocain “Dar Al-Maghrib”, Jaâfar Debbarh, du Maire de la ville de Montréal, Denis Coderre et de plusieurs autres responsables montréalais et québécois, a été également l’occasion pour les membres de la communauté de réitérer leur attachement immuable à leur identité marocaine qu’ils expriment haut et fort dans une société canadienne cosmopolite.

Intervenant à cette occasion, Mme Chekrouni a salué l’organisation de cet événement qui coïncide avec la célébration de la fête du Trône et qui permet de resserrer les liens profonds qui unissent l’ensemble des ressortissants marocains établis au Canada et la Mère-Patrie.

Soulignant l’excellence des relations maroco-québécoises et maroco-canadiennes, elle a ajouté que la communauté marocaine demeure la meilleure manifestation de ces liens historiques, tout en se félicitant de la présence de plusieurs Québécois et Canadiens, ainsi que des membres d’autres communautés, en particulier maghrébine, venus partager ces moments de joie avec leurs frères et amis marocains.

La diplomate a, en outre, indiqué que la communauté marocaine, toujours engagée, demeure une partie prenante dans l’édification et l’épanouissement du grand Montréal et la consolidation des principes de coexistence et du vivre-ensemble, notant que ces valeurs demeurent la devise de chaque Marocain et du Maroc tout entier, un pays tolérant, carrefour de toutes les religions et des civilisations, ouvert sur son environnement euro-méditerranéen et attaché profondément à ses racines africaines et à son ancrage arabo-musulman.

Cette magnifique cohésion entre les différentes composantes de la société marocaine a fait du Royaume un havre de paix et de stabilité sous le leadership visionnaire et clairvoyant de SM le Roi Mohammed VI, a-t-elle affirmé.

De son côté, Mme Zemmouri a indiqué que ce rassemblement offre l’occasion de célébrer une fête chère aux coeurs de tous les Marocains, d’exprimer haut et fort l’attachement indéfectible de la communauté marocaine au Canada à son pays d’origine et à son Souverain, et sa grande fierté des avancées réalisées par le Royaume dans tous les domaines sous la conduite éclairée de SM le Roi.

La présence massive des ressortissants marocains à cet événement, a-t-elle précisé, témoigne, si besoin est, de leur amour inconditionnel pour leur Patrie et des efforts consentis par ces expatriés pour le rapprochement entre le Maroc et le Canada, relevant que la participation d’autres communautés à cette manifestation démontre leur amour manifeste envers le Royaume et l’importance de la solidarité, de la coexistence et du vivre-ensemble dans le monde d’aujourd’hui.

Pour sa part, M. Coderre s’est dit très fier de participer à cette manifestation, qui connaît un grand succès année après année, et de partager avec les Marocains la célébration d’une fête qui leur est très chère, ajoutant que la présence d’autres communautés pour partager ces moments privilégiés est le plus bel exemple du vivre-ensemble et de l’ouverture qui caractérise la ville de Montréal, riche de sa diversité.

Le public, qui a assisté à ce grand rassemblement, a été gratifié par plusieurs spectacles et activités artistiques, agrémentés d’une panoplie de chansons, notamment patriotiques et populaires, et de morceaux de musique “Aissaoua”.

Dans des déclarations à la MAP, plusieurs ressortissants marocains ont exprimé leur joie d’assister à cet événement, ajoutant que ce rendez-vous leur offre l’opportunité de venir partager des moments inoubliables dans un cadre chaleureux et convivial.

Ils ont aussi tenu à souligner la haute sollicitude dont SM le Roi ne cesse d’entourer les Marocains du monde et Son souci permanent de satisfaire leurs doléances, tout en implorant le Très-Haut de préserver le Souverain, de l’entourer de Sa divine protection, de lui accorder santé et longue vie et de couronner de succès Ses actions inlassables au service de la grandeur du Maroc et de la prospérité de l’ensemble du peuple marocain.

 

Source: maroc-canada.ca

Immigration Québec : délais traitement dossiers – octobre 2016

Immigration Québec : délais traitement dossiers – octobre 2016

Pour davantage d’information sur l’immigration au Québec, téléchargez gratuitement le guide Immigrer au Québec et retrouver la page dédiée sur notre site Internet.

Voici les dernières mises à jour concernant les délais de traitement des dossiers pour une demande d’immigration au Québec communiquées sur les sites web du ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion (MIDI) et d’Immigration, Réfugiés, Citoyenneté et Immigration Canada (IRCC).

Ces délais sont calculés pour une demande de résidence permanente au Québec.

Immigration Québec – Les délais de traitement au niveau du Québec

Les délais de traitement des dossiers varient en fonction du pays dans lequel vous avez déposé votre demande, c’est-à-dire le pays où vous résidez habituellement, mais également en fonction des objectifs de sélection du Québec et du nombre de dossiers reçus dans les bureaux d’immigration du Québec à l’étranger.

Les candidats qui ont un diplôme donnant des points au critère domaine de formation verront leur dossier traité en priorité et les délais seront plus courts que ceux indiqués ci-dessous. Vous pouvez consulter la liste des domaines de formation 2015 sur le site web du MIDI

Ces délais s’appliquent à la demande de certificat de sélection du Québec (CSQ) seulement. Ils excluent ceux relatifs à la demande de résidence permanente auprès du gouvernement du Canada.

À titre d’exemple, voici les délais d’attente concernant la vérification des documents soumis (à compter de la date de réception au Ministère) pour la demande de CSQ dans certains pays.   :

– Algérie : 36 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Allemagne : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Belgique : 8 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Bolivie : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Brésil : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Cameroun : 33 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Côte d’Ivoire : 33 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– France : 8 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Iran : 46 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Maroc : 36 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Mexique : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Tunisie : 36 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Ukraine : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Venezuela : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

– Pour les demandes depuis le Québec : 6 mois d’attente pour la vérification des documents soumis

À ce délai d’attente s’ajoutent les délais pour l’examen préliminaire (de 1 à 3 mois) et pour l’examen de sélection (1 à 9 mois).

>> Retrouvez plus d’infos sur la demande de CSQ et tous les délais par pays sur le site du Ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion (MIDI).

Les délais de traitement au niveau fédéral

Pour l’obtention du visa de résidence permanente, les demandes se déposent auprès du bureau canadien des visas dont votre pays dépend. Vous trouverez plus d’infos sur notre page consacrée aux bureaux d’immigration au Canada.

De nouveau, des délais de traitement s’appliquent et vont varier en fonction du pays dans lequel vous avez déposé votre demande.

À titre d’exemple, voici les délais d’attente concernant l’obtention du visa dans certains pays.  Ces délais sont sujets à changement :

Pour la catégorie des travailleurs qualifiés au Québec, les délais de traitement sont de 12 mois.

Les délais de traitement pour les autres catégories d’immigration au Québec au niveau fédéral :

Permis de travail temporaire

– Brésil : 9 semaines d’attente

– Colombie : 7 semaines d’attente

– Maroc : 8 semaines d’attente

– Tunisie : 12 semaines d’attente

Permis d’étude

– Brésil : 9 semaines d’attente

– Colombie : 4 semaines d’attente

– France : 1 semaine d’attente

– Maroc : 8 semaines d’attente

– Tunisie : 8 semaines d’attente

– Roumanie : 7 semaines d’attente

>> Retrouvez plus d’infos sur la demande de résidence permanente et tous les délais par pays sur le site de Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.

 

Source: immigrantquebec.com

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